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Photo du rédacteurJoel Bagnaschino

Vu... pas vu sur le net

Des positions hétérogènes après le référendum, lequel est loin d'être au centre des informations diffusées sur les sites des organisations syndicales et professionnelles. La CGT, par une déclaration de son bureau confédéral, essaie de transformer l'essai pour son compte, en voulant se plaçer clairement au centre de l'échiquier social français et européen pour les moments à venir. Le silence des organisations des autres pays d'Europe sur le sujet, mis à part les Pays Bas, doit il être interprété comme un désaveu ou, plus simplement, comme une certaine indifférence aux souhaits de la CGT française ?


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mardi 31mai 10h00 L’urgence de nouvelles réponses sociales en Europe et en France Déclaration du Bureau confédéral de la Cgt


« C’est un événement politique de grande importance ressenti comme un point d’appui par les salariés. Les Français ont rejeté sans équivoque le traité constitutionnel. (...) La Cgt a pris toute sa part dans ce débat, dans le cadre de ses prérogatives syndicales. (...) Ce vote est également une sanction explicite de la politique menée par le gouvernement depuis trois ans. La « réforme » des retraites, la « réforme » de la Sécurité sociale, la mise en cause des 35 heures ne sont pas acceptées. La Cgt n’a cessé de le répéter. (...) Les revendications exprimées depuis de longs mois sur les salaires, l’emploi, la précarité, les délocalisations, la protection sociale, l’avenir de l’industrie et des services publics, doivent déboucher rapidement sur des résultats concrets. La Cgt exige l’ouverture rapide d’une grande négociation sociale, avant que ne soient arrêtés les principaux choix budgétaires et de politique économique pour 2006 (...) La situation issue du référendum du 29 mai confère de grandes responsabilités à la Cgt, à l’ensemble du mouvement syndical en France et en Europe. L’unité revendicative, la lucidité et une grande détermination s’appuyant sur la mobilisation des salariés sont de plus en plus nécessaires. C’est le point de vue que la Cgt fera valoir auprès de tous ses partenaires syndicaux, auxquels elle propose une rencontre rapide. C’est aussi ce point de vue qu’elle continuera de promouvoir au sein de la Confédération européenne des syndicats qui appelle « l’Union européenne à se rapprocher des citoyens et de leurs revendications ».


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« Après le résultat du référendum » « Comme Force Ouvrière l’exprime régulièrement depuis plusieurs années une réorientation de la construction européenne est indispensable, faisant du progrès social par l’harmonisation vers le haut une priorité, ce qui suppose en particulier de lutter contre le dumping fiscal et social et de réformer réellement le pacte de stabilité et de croissance.


Dans l’immédiat il est indispensable que les pouvoirs publics et le patronat répondent concrètement au malaise social et aux inquiétudes sur les valeurs républicaines. (...)Le manque de perspectives à moyen et long termes, les inquiétudes sur l’avenir du service public et de la protection sociale collective qui doivent rester guidées par l’égalité de droit républicaine, la persistance du chômage, le développement de la précarité, l’insuffisance du pouvoir d’achat et de la consommation, l’accroissement des inégalités sociales nécessitent des réponses rapides. »


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pas moins de quatre communiqués sur le même sujet, mais d’une autre tenue. Dans l’ordre d’apparition sur le site :


- a) Référendum Déclaration de la commission exécutive


La CFDT appelle à la construction d’un pacte socialLa CFDT, dont les militants se sont fortement mobilisés pour soutenir le traité constitutionnel avec la Confédération européenne des syndicats (CES) et les autres syndicats européens, regrette (le) résultat (...)La campagne électorale a été l’occasion pour les Français de faire entendre leur mécontentement et de manifester leur perte de confiance en l’avenir, en particulier du fait d’une persistance d’un chômage de masse. Le chômage, le développement de la précarité et de l’exclusion que connaît notre pays depuis de trop longues années, auxquels s’ajoute la baisse du pouvoir d’achat, appellent un véritable sursaut. Pour la CFDT, les partenaires sociaux et les pouvoirs publics doivent se mobiliser pour construire un pacte social apportant les réponses qu’attendent les Français. Le patronat doit prendre toute la mesure de ses responsabilités en matière d’emploi, de salaires et de sécurisation des parcours professionnels


- b)Vu ensuite, « Sur Europe 1La "double colère" de François Chérèque« On a une double colère aujourd’hui à la CFDT », a-t-il affirmé, « d’abord parce qu’on a le sentiment que ce sont les mauvaises politiques sociales du gouvernement depuis trois ans qui amènent ce résultat-là ». « Et puis, a-t-il ajouté, une colère parce que les syndicats européens avaient le sentiment qu’on avait dans ce texte des outils pour pouvoir répondre à ce malaise social, malheureusement, je crois qu’ils arrivent un peu tard et on a eu du mal à faire passer ce message ».


- c)Vu encore, un communiqué de la Confédération européenne des syndicats L’Union européenne doit maintenant faire face à une crise majeure La Confédération européenne des syndicats (CES) est déçue et regrette que des citoyens français aient rejeté la Constitution européenne, tout en respectant leur choix. L’Union européenne doit maintenant faire face à une crise majeure. Pour la première fois de son histoire, la population d’un des six pays fondateurs a rejeté la façon dont l’Europe se construit. Il ne semble pas que ce soit un rejet de l’Europe en général, mais un rejet de l’Europe néo-libérale. C’est aussi une réaction face aux craintes liées au chômage, aux délocalisations et à l’insécurité. La CES a lancé un avertissement, ces derniers temps, rappelant que le soutien à l’intégration européenne faiblirait si l’on n’accordait pas assez d’attention à la dimension sociale. Les faits lui ont malheureusement donné raison. La Constitution qui n’est pas néo-libérale est devenue une victime pour les États membres tentés d’ignorer l’Europe sociale. C’est un signal très clair à l’UE : elle n’a pas suffisamment écouté les appels en faveur de l’Europe sociale. Le marché intérieur doit être associé à une dimension sociale forte, prenant en compte les préoccupations des travailleurs et des syndicats. L’UE doit se rapprocher des citoyens et de leurs revendications. Nous avons besoin à présent d’une période de réflexion, et nous devrons bien sûr, examiner les décisions démocratiques des Etats membres qui s’exprimeront prochainement. © CES (mis en ligne le 30 mai 2005)


- d)Vu enfin, une déclaration de François Chérèque à l’AFP « Il faut un sursaut national dans le domaine social » (...) « Nous restons persuadés que les solutions pour la France passent par l’Europe ». « Ce texte nous donnait justement des outils pour répondre aux attentes sociales des salariés français. Mais aujourd’hui la question est : comment allons nous construire ce pacte social qui redonne confiance aux salariés », a conclu le secrétaire général.


Vu sur le site


le 31 mai, un édito du ... 18 appelant, « contrairement aux habitudes de la CFTC « qui ne sont pas de se positionner lors d’élections politiques », à voter un « oui » en creux. Clairement, le mardi suivant le référendum, l’éditorial suivant n’était pas prêt ! L’éditorial de la semaine Entre un “oui” à l’avenir et un “non” de colère, faisons le bon choix ! 20/05/05 10:49


S’il n’est pas dans nos habitudes de nous positionner lors d’élections politiques, nous savons le faire lorsque des valeurs essentielles sont en jeu. Par ailleurs, les diverses interrogations dont nous sommes l’objet de la part du mouvement nous portent à réfléchir avec vous à la question posée dans le cadre du référendum du 29 mai. La réponse que nous y apporterons concerne l’avenir de la France et de l’Europe. Lors du Congrès de la fédération générale des Transports auquel j’ai assisté la semaine dernière, j’ai été frappé de voir à quel point certains d’entre nous étaient tentés de se servir du “non” dans l’espoir de se protéger d’évolutions négatives qu’ils vivent déjà. Nous ne pouvons que les comprendre, comme nous comprenons l’inquiétude de nombreux militants confrontés journellement à des fermetures d’usines ou à des délocalisations. Et pourtant ! Sommes-nous dans la bonne logique lorsque nous considérons que les menaces qui pèsent sur les salariés méritent une sanction qui se transformerait en un “non” à l’Europe ? Ces menaces, n’est-ce pas à l’action syndicale de les repousser ? Cette action syndicale qui doit devenir de plus en plus forte.


Après réflexion, je me dis que l’on est en train de nous proposer pour la première fois un texte qui parle de dignité de la personne, de droits au travail, bien qu’il n’aille pas aussi loin que nous le voudrions. Mais c’est ainsi que l’Europe, depuis 60 ans, se construit à petits pas. Ne cassons pas les efforts faits par nos anciens. Surtout, ne nous trompons pas de combat. Les marchés financiers, surtout anglo-saxons, sont pour le “non”, les Etats-Unis aussi : tout effort de consolidation politique de l’Europe est pour eux une menace à la dérégulation qu’ils veulent entretenir. Ce simple fait doit nous dicter la ligne à suivre.


Jacky Dintinger, Secrétaire général, le 18 mai 2005


Vu un peu la même chose sur le site


Constitution européenne reprend le 31 mai « Ce qu’il faut savoir sur le Traité constitutionnel »


ou plutôt, ce qu’il fallait savoir avant le dimanche 29 mai


Le site du MEDEF a mis en ligne une déclaration du président Seillière :


Le non au référendum sur la Constitution européenne a de lourdes conséquences :


- il empêche l’Europe de s’organiser mieux pour promouvoir ses intérêts dans le monde et y défendre son modèle économique et social ;


- il rend plus aléatoire la réalisation des objectifs de Lisbonne pour la compétitivité de l’Europe dans le monde ;


- il affaiblit l’économie française en rendant plus vive la compétition entre les entreprises des Etats-membres ;


- il affaiblit la France en Europe et nuit à son image dans le monde.


Le MEDEF et les entreprises françaises redoubleront d’énergie et d’initiatives pour continuer à contribuer à la croissance et à l’emploi dans notre pays. Mais seule la mise en œuvre immédiate et accélérée d’un programme de réformes peut rétablir notre situation économique et éviter que notre système de protection sociale se dégrade. Le MEDEF demande à ceux qui nous gouvernent d’engager sans délai la modernisation exigée par les entreprises de notre pays.


Vu sur le site de la FNSEA


le 30 mai 2005, une déclaration de Jean-Michel Lemetayer sur les résultats du referendum


Le NON vient de l’emporter massivement. Les paysans ne sont pas en marge de ce résultat.


La France a choisi une autre voie que celle que j’avais soutenue. Chacun, à son niveau, pourra analyser les conséquences positives ou négatives de ce vote, mais aujourd’hui l’heure n’est déjà plus à l’analyse mais à l’action pour répondre aux attentes de nos concitoyens. La politique agricole est une des seules politiques intégrées européennes. Cette politique, les paysans ne sentent plus ni son contenu, ni ses objectifs : cette incompréhension, ils viennent de l’exprimer par un vote négatif. J’espère de tout mon cœur que cette position française, nous puissions l’expliquer afin qu’elle ne soit pas interprétée comme de l’arrogance et de la défiance envers nos partenaires.


Permettez-moi de penser au ministre français de l’Agriculture qui doit affronter aujourd’hui en Conseil des Ministres européens la stupéfaction de ses collègues. Il faut tout faire pour empêcher notre isolement et notre mise à l’écart car ne nous y trompons pas, les paysans français n’ont pas voté contre l’Europe, ils ont voté contre la suradministration, les contrôles intempestifs et le manque de lisibilité quant à l’avenir de leur métier. Le malaise des campagnes était perceptible depuis des mois : faute d’être entendus, les paysans ont exprimé leur ras-le-bol dans les urnes. (...) Nous avons besoin d’Europe, d’une Europe plus proche de ses paysans, d’une Europe qui comprend que le métier de paysan n’est pas un métier comme les autres, d’une Europe qui positive et propose, d’une Europe qui protège et fait respecter la préférence communautaire, et non pas qui sanctionne ou qui restreint.


Vu sur le site Confédération paysanne


une déclaration datant d’avant le referendum : « Non », en tant que paysans, en tant que citoyens, en tant qu’Européens !


Le site ATTAC


titre quant à lui, dès le 29 maiLA VICTOIRE D’UN PEUPLE DEBOUT ET INFORMÉCommuniqué du Bureau d’Attac


Selon des résultats provisoires, le « non » aurait gagné avec 55 % des voix contre 45 % au « oui ». Les abstentions ne s’élèveraient qu’à 30 %, chiffre le plus bas de toutes les consultations européennes depuis qu’il en existe. 29 mai 2005


Au nom de l’Europe, je vote NON !


Autre son de cloche sur le site de la CES


- Rien vu sur les sites des organisations mondiales CMT et CISL.


- Rien vu non plus sur le site du syndicat anglais TUAC.


- Pas vu quoique ce soit non plus sur les sites belges de la CSC et de la FGTB.


- Ni sur le site polonais de Solidarnosc.


- Rien non plus sur les sites espagnols de la CCOO, de l’UGT et de l’USO.


- Et pas plus sur le site américain de l’AFLCIO. Mais les communiqués sur l’Europe sont en règle générale assez discrets sur ce site.


- Cela change avec le site de l’Unice, avec une « coquille » qui prouverait que l’Unice travaille avec des devins : « 26 mai 2005 COMMUNIQUE DE PRESSE : UNICE déplore le non français : un recul important » Juste après l’Unice trouve malgré tout à se réjouir grâce à la France : « Good news for the WTO : Pascal Lamy to be the next WTO Director General »


- Son de cloche proche des commentateurs français sur le site du DGB, avec son président Michael Sommers qui intervient le 30 :


Sommer : Franzosen haben für ein soziales Europa gestimmt


Der DGB-Vorsitzende Michael Sommer bewertet das Votum der Mehrheit der französischen Wählerinnen und Wähler als "dringenden Appell für eine Erneuerung des europäischen Sozialmodells". Es sei natürlich auch eine Abrechnung mit marktliberalen Strategien, welche die Regierung in Paris in den vergangenen Jahren verfolgt hat, sagte Sommer am Montag in Berlin. Dennoch "sind alle politischen Entscheider in Europa gut beraten, sich jetzt nicht über das Abstimmungsergebnis hinwegsetzen". Michael Sommer unterstützte den EU-Ratspräsidenten Jean-Claude Juncker in seiner selbstkritischen Einschätzung. Juncker hatte am Montag dazu aufgefordert, darüber nachzudenken, ob die Widersprüche, die zum Wahlergebnis in Frankreich geführt haben, "nicht auch europäisch sind". Der DGB-Vorsitzende setzt darauf, dass in einer solchen Denkphase klar werden wird, dass "wir einen Neuanfang für ein soziales Europa brauchen". Dazu gehöre auch eine europäische Verfassung, mit der die Binnenmarktstrategie durch die Herstellung des Primats sozialer und demokratischer Prinzipien korrigiert wird. Europa, so Sommer weiter, "wird sozial sein, oder es wird gar nicht sein".


- Impossible par contre de ne pas voir, à la une du site hollandais de la FNV


EVV teleurgesteld na Frans ’Nee’ De Europese vakbondskoepel EVV is erg teleurgesteld dat de Fransen in meerderheid tegen de nieuwe Europese Grondwet hebben gestemd. Oorzaak is de verwaarlozing van de sociale dimensie door een aantal staten, zo denkt het EVV.


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Veel nee-stemmers deden dat vermoedelijk uit onzekerheid en angst voor werkloosheid en het verdwijnen van banen. Ook protest tegen neo-liberaal beleid speelt een rol. Dat heeft allemaal weinig te maken met de letterlijke tekst van de Grondwet, want die is niet neo-liberaal, zo zegt het EVV (Europees Vakverbond).


Maar Europa betaalt hiermee de prijs voor het beleid in landen die te weinig rekening hebben gehouden met sociaal beleid en de belangen van werknemers en vakbonden.


De interne markt moet gekoppeld worden aan een sterke sociale dimensie. ’De EU moet weer contact maken met de mensen en hun verlangens’ zo zegt het EVV vanochtend in een commentaar.


30 mei 2005


Qui en profite pour faire de la publicité pour le non hollandais au referendum du 3 juin suivant, sur le thème « fondons les bases d’une nouvelle Europe » :


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Op woensdag 1 juni stemt Nederland over een nieuwe Europese Grondwet


Lodewijk de Waal : ’De Europese Grondwet is een stap vooruit’* De Europese Grondwet is op sociaal-economisch terrein een verbetering van bestaande verdragen. De Europese vakbeweging roept dan ook op om vóór te stemmen. De FNV doet dat niet. Puur omdat ze geen politieke stemadviezen geeft. De FNV geeft wel voorlichting.


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Lodewijk de Waal, oud-voorzitter FNV * Hij blijft nog even woordvoerder voor het referendum

’De FNV geeft al heel lang geen stemadviezen meer. Politieke keuzes bij verkiezingen en referenda gaan over meer dan werk en inkomen. Hoe Europa straks omgaat met bijvoorbeeld de kerken ligt niet op ons werkterrein. Maar de vakbeweging wil u wel graag vertellen dat deze Grondwet op sociaal-economisch gebied een stap vooruit is. Daarom hebben we deze site ingericht.’


Voordelen van de Grondwet ’De nieuwe Grondwet is een stap vooruit. De sociale markteconomie en volledige werkgelegenheid zijn opgenomen als doelstelling van de Europese Unie. Dat gaat verder dan wat in eerdere verdragen staat. De rol van sociale partners en de jaarlijkse sociale top wordt expliciet erkend.’


’’De nieuwe Europese Grondwet is ook democratischer dan de bestaande verdragen waar ze voor in de plaats komt. Solidariteit, gelijkheid, non-discriminatie en gelijke behandeling van mannen en vrouwen worden straks belangrijke waarden van het nieuwe Europa. Ze zijn onderdeel van een uitvoerig handvest met grondrechten. Dat zijn weliswaar algemene beleidsdoelen, waar je als burger geen individuele rechten aan kunt ontlenen. Maar deze Grondwet leidt ertoe dat die rechten meer en meer in de praktijk worden gebracht.’


Verdiep u in de achtergronden ’Uit de peilingen blijkt dat een groot deel van de Nederlanders tegen de Grondwet is. Maar leg je ze uit wat erin staat, dan gaat het aantal voorstanders met sprongen omhoog. Ik hoop dat u in ieder geval de moeite zult nemen om u in de achtergronden te verdiepen.’


Lodewijk de Waal, oud-voorzitter FNV

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